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La location des biens immobiliers les plus énergivores interdite en France dès 2023.

Une voiture électrique, produite par une entreprise technologique américaine, en tête des ventes de véhicules neufs en Europe en septembre 2021.

Le pavillon avec jardin, projet de vie de millions de ménages, récemment qualifié par la Ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement de « non-sens écologique, économique et social ».

Trois preuves que l’heure n’est plus aux signaux faibles et aux demi-mesures en la matière !

Les modèles actuels d’exploitation des ressources naturelles, de production et de consommation ont atteint leurs limites. Ils constituent désormais une menace tangible à la fois pour la planète et l’humanité.

Préalable à son sixième rapport, la récente synthèse à l’adresse des décideurs du GIEC a levé toute « équivoque » : c’est l’activité humaine qui est responsable du réchauffement climatique et provoque « des changements rapides dans l’atmosphère, les océans, la cryosphère et la biosphère » qui sont de nature à décupler la survenance et l’intensité d’événements extrêmes à hauts risques.

Après des années de discours d’intention, de faux départs et d’engagements peu contraignants, ce début de décennie pourrait ainsi s’imposer comme un « marqueur » : celui de l’entrée « pour de vrai » d’une majorité de pays et puissances régionales dans un processus accéléré et radical de transformations énergétiques, économiques et écologiques.

La Commission européenne a ouvert le bal en mettant à l’agenda le 14 juillet 2021 le Paquet « Fit for 55 » qui doit conduire à une réduction de 55% des émissions de gaz à effet de serre des 27 pays de l’UE d’ici 2030 pour que l’Europe devienne le premier continent neutre en carbone dès 2050. Dans la déclaration finale du sommet de Rome, les chefs d’État et de Gouvernement du G20 ont réaffirmé le caractère « crucial » de l’objectif « zéro émission nette mondiale » à atteindre avant le milieu du siècle.

Sur cette trajectoire, la COP 26 de Glasgow doit permettre de confirmer de fortes aides financières annuelles des pays industrialisés aux pays en développement pour faire face au dérèglement climatique. Des engagements notables sont également en passe d’être réalisés en matière d’émissions dues au charbon et au méthane.

Cette dynamique conforte les entrepreneurs et fournisseurs qui n’ont pas attendu pour se mettre en action, développer des solutions durables, être à l’écoute des aspirations sociales, innover en pensant local…

À quelques jours de l’ouverture de la marketplace des solutions vérifiées durables Vetted aux acheteurs professionnels et institutionnels français, nous sommes à la fois enthousiastes et conscients de la responsabilité particulière qui nous incombe. Car si Vetted doit tenir une promesse, c’est bien celle de son nom qui signifie « vérifié, validé ».

Sur Vetted, il n’y aura donc jamais de place pour le greenwashing ou les fausses bonnes idées. La qualité de l’expérience client et l’instauration de la confiance au sein de la communauté des utilisateurs de la marketplace sont nos priorités.

C’est pourquoi nous avons décidé d’attribuer grâce à notre indice, trois niveaux à l’ensemble des solutions qui y sont référencées pour apporter transparence, lisibilité et praticité aux acheteurs dans leurs parcours de choix et de transformation.

Ce système de classification, forcément perfectible, s’appuie pour son lancement sur des critères et données factuelles (fabrication française, circulaire, recyclée, souveraine, etc…) et la production de certifications ou labels reconnus ou validés par un tiers. Par essence, il est destiné à évoluer régulièrement pour accompagner l’évolution des normes d’encadrement de la transformation durable et de l’impact.

  • Le premier niveau de l’Indice Vetted est préalable à toute inscription sur notre marketplace. La solution proposée doit posséder au moins l’un des critères durables suivants : décarboné, local, digital.

  • Le deuxième niveau de l’Indice Vetted correspond à un niveau d’implication qui dépasse la simple solution, en l’inscrivant dans une démarche d’entreprise globale (par exemple l’obtention d’un ou plusieurs labels, un effet levier sur un ou plusieurs objectifs de développement durable, la prise d’engagements sociaux et sociétaux, etc…).

  • Enfin le troisième niveau de l’Indice Vetted est attribué aux solutions proposées par des entreprises qui affichent une raison d’être, disposent d’un suivi et d’un plan de réduction de leurs émissions carbone, ont initié une démarche d’évaluation de leur(s) impact(s).

Au-delà des bénéfices pour les acheteurs, qui pourront sélectionner et noter les solutions en toute transparence, l’indice Vetted se veut aussi inspirant et stimulant pour les fournisseurs qui y trouveront de précieuses ressources de benchmark et d’amélioration continue. C’est l’une des raisons d’être de Vetted : fédérer des communautés d’utilisateurs professionnels engagés autour de démarches cohérentes et efficaces de transformations durables.

Si le changement n’est plus une option, son histoire reste à écrire. Nous pouvons et devons y contribuer ensemble.

Impatients de prendre connaissance de vos retours, nous nous engageons à adapter, étoffer et optimiser cette offre de service en permanence pour répondre aux évolutions des attentes et exigences des entreprises et organisations publiques.

Cap sur 2030 !